Pipit des arbres

Anthus trivialis (Linnaeus, 1758)

Classe : Aves Ordre : Passeriformes Famille : Motacillidae Genre : Anthus

  • 570
    observations

  • 19
    communes

  • 66
    observateurs

  • Première observation
    1952

  • Dernière observation
    2024
Abel-coindoz Rémi - Anonyme - Ardelet Jonathan - Bertouille Etienne - Biophonia - Blanchet Rémi - Bono Loris - Cadier Guillaume - Cailliere Christine - Caminade Fanny - Caminade Frédéric - Cargnelutti Tony - Chaillou Anthony - Charvoz P. - Cholet Jérémie - Colombat Mathilde - Crouzier Pierre - Debaere T. - Desbrosses Samuel - Dominique Edon - Ducruet Matthieu - Durlet Pierre - Dury Benoit - Ever Joffrey - Foxonet Hugo - Frey Cyrille - Gardien Stéphane - Genoud David - Guell Leïla - Guerry Sylvain - Guyot Gaétan - Inconnu (archives Faune) - Lamy André - Laurent Dimitri - Levisse Pierre - Liberek J.e. - Lézat Simon - Martin Philippe - Mazenauer Julien - Mourier Pierre - Müller Emilie - Nathan Trouverie - Observateur Atlas Suisse - Perillat Camille - Pescay Rémi - Peter Christian - Peyric Axel - Piaget - Piot Bram - Poirel Cyrille - Racine Antoine - Revaclier Yvain - Ruché - Schmidt Yvan - Schonbachler Cyril - Serive Romain - Sonnerat Bernard - Spinnler Florent - Steffen J. - Ton Louis - Tony Cargnelutti - Tournier Hervé - Tschopp Bernard Pierre - Vuilleumier François - Wilkens Malcolm - Zlatan Celebic

Informations sur l'espèce

Cet oiseau de la taille d’un moineau a un dos brun tacheté, un poitrail de couleur chamois strié de noir, et un ventre blanc. Les deux sexes sont identiques. Espèce migratrice, cet oiseau des lisières forestières revient en avril dans les forêts claires et sur le massif jurassien, en particulier dans les milieux ouverts piquetés de conifères. Il trouve là de grands arbres servant de poste de parade au mâle mais c’est à terre qu’il se nourrit et qu’il établit son nid caché dans des herbes hautes.

Source : Parc national des Ecrins et RNN Haute Chaîne du Jura

D’avril à juin, on repère facilement le mâle lorsque, quittant le sommet d’un arbre, il s’élève à la manière d’une alouette en lançant des notes répétitives en crescendo puis se laisse tomber en parachute, ailes ouvertes et queue relevée, notes en decrescendo, pour retrouver son perchoir. Il recommence son manège inlassablement pendant une bonne partie de la journée.

Source : Parc national des Ecrins

Forêts postpionnières | Forêts d'altitude et zone de combat | Mélèzins
Subcosmopolite
Alauda trivialis Linnaeus, 1758 |

Audio (1)

Pipit des arbres

Auteur: Fernand Deroussen - Naturophonia
Description: Pour le Parc national des Ecrins avec la participation financière de la GMF

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles